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    Après Caleb (que vous pouvez retrouver ici), voici Garance. C'est le personnage principal de mon roman, Limbre (que je vais surement renommer par "Ré-Evolution").

    Alors les enfants, voici ce que j'appelle un "portrait-poupée". Vous voyez les charmants visages de nos bambins en plastiques, sur lesquels sont plaqués des expressions niaises ou figées ? Et bien ce portrait est comme le visage d'une poupée: figé. Certes, les cheveux et les larmes donnent une impression de mouvement, mais l'expression ne va pas du tout avec le reste. Bien sûr, cela peut venir de moi, mais c'est en tout cas ce que je pense ^^

    J'ai pas mal cafouillé sur son sourcil, et ça se voit. Il est un peu passé par toutes les inflexions possibles: triste, haineux, agacé, surpris, dépressif... x)


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    Comme convenu, voici un article sur mon petit voyage du week-end spécial judo: direction Liévin, dans le Nord-Pas-de-Calais où avait lieu le championnat de France de judo!

    Je me suis rendue sur le parking du Super U aux alentours de minuit trente, vendredi dernier. Attendaient déjà...

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  • Petit machin sans prétention, écrit dans le cadre d'un exercice d'écriture. Il y avait quatre mots à placer: mystère, soleil, livre et piano.


    Oh, Soleil...

    La nuit ondoyait autour d'elle. Ombre, noirceur illuminée par les étoiles qui parsemaient le ciel, la nuit étendait sa longue traîne sur le monde.
    Entourée par les sons nocturnes qui murmuraient à ses oreilles, la jeune-fille contemplait la vallée qui s'étirait à ses pieds, frissonnant au contact du souffle sur sa peau.
    La nuit. Son amie.

    Tandis que le chant des cigales l'enveloppait d'une douce torpeur, la jeune-fille songeait au mystère qui venait d'être levé. Il y avait encore quelques heures, elle ignorait qui il était. Il s'était présenté à elle, lui avait offert des mots, du réconfort, des caresses. Puis il était parti. Lorsqu'elle fermait les yeux, elle voyait encore son visage, aux traits doux, ses longues mains qui avaient semblaient être faites pour frôler les touches d'un piano.
    Il était parti. Son regard au reflet animal qui l'avaient fait tomber dans ses bras n'existait plus, il s'estompait déjà dans son esprit. Le mystère s'était levé, il était parti. Il n'était pas ce qu'il prétendait être. Un menteur. Rien d'autre. Ses mots, ses gestes, ses sourires, tout disparaissait alors. Rien n'était vrai.
    La jeune fille ferma les yeux pour ne pas que ses larmes coulent. Sa gorge se serra.
    Rien n'était vrai. Il s'était joué d'elle comme l'auteur se joue des personnages de son livre, il l'avait manipulée, et devait rire aujourd'hui de sa naïveté. Comme elle avait été jeune...
    Un souffle qui devait être un cri de douleur déchira le silence qui s'était soudainement abattu sur la plaine. Un nom, prononcé avec douleur, incapable de haïr.

    Oh, Soleil...

     


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  • Pour bien commencer la journée (après avoir émergé du sommeil avec les infos d'Europe 1, je cite: "une petite fille disparue dans le Gard aujourd'hui retrouvée morte..." ça met tout de suite en joie. La prochaine fois, j'écouterai Skyrock, après le risque c'est que j'ai un mal de crane toute la journée à cause de cette musique électronique.), quoi de mieux qu'une chanson rigolote et entraînante ? Je l'ai dans la tête, mais ça ne fait rien.


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  • De la vraie citation de Stendhal:  "Un roman c'est un miroir que l'on promène le long d'un chemin."

    Mais si un roman est une surface qui renvoit l'image de son auteur (un auteur laisse toujours une trace de lui dans son oeuvre, enfin c'est ce qu'il se dit, et je serais plutôt d'accord avec cette affirmation), je pense que c'est avant tout un ami. Un ami à qui l'on peut tout dire, qui prend l'apparence que nous souhaitons. Ni vraiment un journal intime, ni vraiment un texte impersonnel -au contraire!-, ce n'est ni plus ni moins...

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  • ... Les notices que personne ne lit jamais.

    OU: Lorsque la technologie plie devant l'Homme  (ou la Femme  )

     

    Titre quelque peu prétentieux j'en conviens, mais n'est-ce-pas la vérité ? Il arrive parfois que l'être humain, alors totalement dépassé par l'avancée technologique comme les écrans tactiles, les applications qui répondent à la voix, les iPod iPad et autres iMachon-Choses (à mon avis, c'est plutôt le porte-monnaire qui fait aïe... aïe...), parvienne à comprendre comment ça marche.

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